First, let me thank you for your rapid, professional and pertinent answer. It
helps all of us to understand more accurately the issue.
license-violation(a)fsf.org wrote:
> In general, these sorts of licenses apply only to the bits which are not
> under the GPL. In a typical Red Hat distro, this is mainly the Red Hat
> Network client (but please check carefully).
To my understanding, this contract covers all the RedHat product and services.
They seems to mix the two notions. At least, it is not explained what software
exactly is covered by the proposed agreement. For me, product means RedHat Linux
Enterprise (ES, AS or WS) and service means RedHatNetwork, but this is only my
perception of the issue. There is no explanation from their side. When I visit
their web site, I don't see any way to purchase a product without purchasing the
RHN service. And the contract they propose covers both, so I conclude it also
covers the product alone, even if I don't figure out up to now how to have the
product alone...
> Red Hat may price support at a per-pc price, and may generally make
> agreements which support this practice. Such agreements may say that
> Red Hat won't sell you support for 50 PCs if you in fact have 500 PCs
> running RH software.
I fully agree that they have freedom to sell services as well as softwares, even
free softwares, and that they have the freedom to price support on per CPU
basis, as example, and that they have the right to refuse me support for 50 CPUs
if I'm actually running 500 CPUs using the service, but as soon as the only way
to purchase the software is by purchasing the service, and the service bans your
right to install the software on supplementary CPUs (even if not using the
service from those supplementary CPUs), then the conditions of the GPL doesn't
seems met anymore to me... I have strong restrictions on my freedom to use the
software, which is by the way freedom N°0 from the definition of free
software...
"Free software is a matter of the users' freedom to _run_, copy, distribute,
study, change and improve the software. More precisely, it refers to four kinds
of freedom, for the users of the software:
* The freedom to _run_ the program, for any purpose (freedom 0).
[...]
The freedom to use a program means the freedom for any kind of person or
organization to use it on any kind of computer system, for any kind of overall
job, and without being required to communicate subsequently with the developer
or any other specific entity."
More precisely, in the GPL that covers most of the GNU/Linux system, it is
explicitely told that: "You may not impose any further restrictions on the
recipients' exercise of the rights granted herein.". I feel the obligation to
purchase a chargeable service for any supplementary CPU running the software
against this statement.
> You still have your full rights under the GPL -- but Red Hat may simply
> choose not to sell you support. This is probably what the RH rep meant
> when they said that you "weren't allowed" to copy the software.
They don't say I'm not allowed to copy the software, they explicitely say in
this agreement that in this case I MUST PURCHASE a supplementary subscription to
RHN, and that they even have the right to check once a year in my premises the
amount of RedHat products that are running... They also confirmed me that if I
elected to stop a subscription, I lost the right to run the software... Isn't
there something wrong ?
I think they should correct their wording, saying that any new installed station
SHOULD lead to the purchase of a supplementary subscription, or IS NOT ALLOWED
to be patched nor upgraded by use of the RHN provided services or patches.
The RedHat behaviour leads to declarations of high-tech leaders that says that
due to the support conditions imposed by "OpenSource" companies such as RedHat,
RedHat Linux is actually becoming proprietary software. I was shocked when I
heard this, and that's why I wished to check the exact licence conditions. I
slowly begins to conclude that indeed, through its mandatory and very
restrictive agreement conditions, the RedHat distribution does not meet anymore
the criterias imposed by the GPL, nor the very basic principles of Free
Software.
What are your conclusions about this ?
Thank you for your time.
--
Brent Frère
Private e-mail: Brent(a)BFrere.net
Postal address: 5, rue de Mamer
L-8280 Kehlen
Grand-Duchy of Luxembourg
European Union
Mobile: +352-021/29.05.98
Fax: +352-26.30.05.96
Home: +352-307.341
URL: http://BFrere.net
Forget al your worry about Mozilla, Konqueror etc.
In Netscape or IE6 it's even worse.
We should show Utopolis programmers how to handle frames....(;->
Ender
[...]
> Voici la proposition:
>
> N'ACHETONS P! AS UNE G OUTTE D'ESSENCE AUX DEUX PLUS
> IMPORTANTES COMPAGNIES PETROLIFERES (qui n'en font plus qu'une
> maintenant): SHELL et ESSO.
>
> Si elles ne vendent pas d'essence, elles seront obligées de réduire leurs
prix.
Le prix est imposé par le contrat-programme qui lie l'Etat et les compagnies
pétrolières... Cette démarche est parfaitement inutile et inefficace.
Lorsque je pense aux années 80-84, le mazout de chauffage a atteint alors plus
de 20 BEF/l (en Belgique) et l'essence 45 BEF/L (en Belgique). Avec l'inflation,
ça doit valoir environs 2 à 3 /l à l'heure actuelle... Le baril de pétrole
était allé jusqu'à 40 $, ce qui équivaut à 100 $ en argent constant en 2004... A
l'époque, les fabriquants de voitures essayaient de mettre au point des moteurs
très économiques (moteurs pauvres, véhicules au LPG...). Avec la CHUTE de prix
dans les années 90, les voitures se sont remises à consommer de plus belles:
j'ai un 4x4 parmi les plus économiques du marché, par passion du 4x4, et il
consomme sur autoroute 7l/100 Km, alors qu'un Rav-4 de Toyota monte allègrement
à 11l/100 voir même 14l/100 pour le modèle essence, sans parler de Land Rover ou
de Jeeps...
La morale ? C'est qu'il n'y a pas d'autre moyen de faire baisser la consommation
en énergie fossile que par la hausse des prix. Tout le monde le sait: on ne PEUT
PAS continuer à brûler tout le carburant dont on dispose sinon on va rendre la
planète invivable. On DOIT trouver le moyen de vivre au mieux en ne comptant que
sur des énergies respectueuses de notre environnement, en ce inclu le nucléaire
tant qu'on aura pas trouvé mieux. Alors pour moi, le prix du pétrole DOIT
augmenter afin de sauver la planète, car c'est visiblement le seul moyen de
réduire la consommation de chacun (surtout les américains by the way) et de
favoriser la saine gestion de notre environnement. L'augmentation des prix va
faire investir les gens dans l'isolation de leur maison, dans l'entretien de
leur chaudière, dans le remplacement de leur chaudière par une chaudière
économique, à investir dans le télé-travail, à changer de véhicule pour un
véhicule plus léger, à remplacer les voyages d'affaire par avion par des
video-conférences, à éviter les longs déplacements vers des méga-shopping center
pour relancer le commerce de proximité, à mutualiser les transports qui sont
indispensables, etc...
Moi, j'ai opté pour du matériel électroménager classe AAA+ partout ou ça existe,
j'ai la voiture diesel la moins polluante de sa catégorie avec catalyseur et
filtre anti-particules (le diesel dans ces conditions est moins polluant des
carburants disponibles), j'utilise chaque fois que c'est possible ma moto, y
compris pour aller travailler, même en hiver, même si je vais en clientèle, afin
de consommer moins de carburants (il n'y a pas raisonnablement moyen d'aller à
mon travail par les transports en commun), j'utilise exclusivement des ampoules
économiques, j'ai opté pour une boite de vitesse manuelle car la transmission
automatique représente 10 à 15% de consommation en plus, j'ai isolé ma maison
même si je la loue, j'ai opté pour du courant électrique 100% écologique (Nova
Naturstroum), je recycle à 100% mes déchets et je cherche à acheter le moins
d'emballages inutiles possible, etc...
Mais je sais que ça ne sert à rien si les autres ne font pas de même. Comme il
semble que la raison n'est pas la qualité la plus répendue, ce n'est pas par
spots publicitaires qu'on va convaincre la majorité à opter pour une mobylette
par idéal, et encore moins les grands groupes industriels... Pour moi, on
devrait INTERDIRE le chauffage à l'électricité d'origine fossile (3x plus
polluant qu'une chaudière individuelle à mazout), limiter la puissance des
véhicules (à quoi bon mettre sur le marché des voitures qui font du 400 Km/h ou
qui consomment 24l/100 comme des V6 ou V8 de Jeep Willis ???), favoriser
fiscalement le co-voiturage, retirer de la vente les frigos mal isolés et les
ampoules à incandescence, imposer des normes en matière de consommation des
appareils en stand-by, etc...
Pendant que ma femme travaillait à Luxembourg et moi à Betzdorf, nous partagions
la même voiture: je la déposais en passant, et je la reprenais le soir en
revenant de mon travail. Ce n'est pas de la radinerie: c'est juste que c'est
imposé par les limitations de notre planète: il FAUT limiter la consommation
d'énergie. C'est vital. Comme il n'y a pas moyen de faire entrer cette idée dans
la tête du plus grand nombre, la seule solution est de faire flamber le prix du
pétrole. Je pense qu'à 5 /l, on trouvera bien vite des moyens alternatifs de se
déplacer, de se chauffer et on limitera très efficacement nos besoins en
énergie. Si c'est le seul moyen de sauver la planète, je suis pour.
Alors oui, l'augmentation du prix du pétrole est une bonne chose. Pourvu que ça
dure ! Je souhaite surtout qu'il ne re-baisse pas, afin de ne pas faire perdre
encore des années à notre planète, comme ça a été le cas dans les années 90, ou
les recherches sur les énergies renouvelables ont été mise sous cloche parce que
le pétrole était redevenu abondant et bon marché. Je pense aussi que ce qui
reste de pétrole devrait être utilisé à des fins plus nobles que d'être brulé:
on en aura toujours besoin pour faire certains types de plastics indispensables,
certains médicaments, ... alors boycottons le pétrole, oui, mais pas pour en
faire baisser le prix, juste pour sauver notre avenir et celui de nos enfants.
Just my 0.1 cent.
--
Brent Frère
Private e-mail: Brent(a)BFrere.net
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-------- Original Message --------
Subject: [Fwd: Re: FW: DEXIA dexia-bil.lu **Demande d' information
techniques**Technique(a)dexia-bil.lu**-->SCR=VISITEUR"***]
Date: Wed, 27 Oct 2004 22:21:49 +0200
From: TousAVelo <tousavelo(a)kervisou.be>
To: Brent(a)BFrere.net
Pour info.
Bat
Olivier Jadot
--
Brent Frère
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Home: +352-307.341
URL: http://BFrere.net
This e-mail signature can be checked if you have the CaCERT certificate installed.
Check http://www.CaCERT.org for details.
Hi,
since Georges is very much occupied with his doctoral thesis right
now, his presentation on OpenOffice / MySQL has been reported to
the november or december meeting.
A probable agenda item for the october meeting will be the LinuxDays
2005 courses.
Greetings, Eric
Faré <fahree(a)gmail.com> wrote:
> On Fri, 22 Oct 2004 15:04:16 -0000, Brent Frère <brent(a)bfrere.net> wrote:
> > La morale ? C'est qu'il n'y a pas d'autre moyen de faire baisser la
consommation
> > en énergie fossile que par la hausse des prix.
> Mais pourquoi diable faire baisser la consommation serait-il un but?
>
> > Tout le monde le sait: on ne PEUT PAS continuer à brûler tout le carburant
dont on dispose sinon on va rendre la planète invivable.
> Comment le sait-on? Parce que des lobbies rétrogressistes font des
> prédictions apocalyptiques depuis quelques centaines d'années? Allons
> donc!
>
> "Ceux qui refusent de faire des calculs simples sont condamnés à dire
> n'importe quoi"
> http://www-formal.stanford.edu/jmc/progress/
J'ai bien lu tout ce site avec attention, et il est très intéressant. Au moins,
il a l'aventage d'enrichir le débat. J'ai qd même l'impression que l'auteur se
choote ou bien est sous Prosac, car il ne voit que le bon côté des choses. Je
voudrais aussi recadrer mon intervention, qui se situe au début du XXIème
siècle, dans un monde qui n'a pas encore basculé dans le tout-nucléaire,
également dans les pays du tiers-monde et les dictatures (bien que la Corée du
Nord soit ici un contre-exemple), et que donc dans notre situation actuelle ou
la seule énergie utilisable pour les moyens de transport individuels est et
reste exclusivement le pétrole (et son proche cousin, le gaz), que l'effet de
serre est maintenant prouvé et admis par tous les scientifiques, et
particulièrement les spécialistes en la matière que sont les climatologues,
qu'il n'existe pas encore de moyen connu de renverser l'effet de serre (comme
l'émission d'un gaz à effet de serre inversé), et que des zones immenses de la
planète comme la Chine et l'Inde entrent dans la révolution industrielle, il est
indispensable de limiter au plus vite l'usage des ressources productrices de gaz
à effet de serre, et que visiblement le seul moyen efficace d'y parvenir est
l'augmentation importante des prix de ces ressources.
Je constate d'ailleurs que cette conclusion se retrouve également sur ce site:
"However, hydrogen cannot come into common use until the political obstacles to
nuclear expansion are overcome or the technological obstacles to large scale
solar energy are overcome. It is unlikely to be used as long as gasoline remains
so cheap, i.e. as long as oil remains cheap and fear of global warming does not
prevent its use. We hydrogen enthusiasts will just have to wait."
Donc, il constate bien que lorsqu'on raisonne dans le cadre réel et non
théorique de notre planète ("political obstacles to nuclear expansion or the
technological obstacles to large scale solar energy"), l'auteur arrive aux mêmes
conclustions qui sont que les technologies qui permettraient le développement
durable nécessitent tout d'abord l'augmentation du prix du pétrole ("It is
unlikely to be used as long as gasoline remains so cheap").
L'objet de ce site est très louable et tend à penser que l'humanité pourra
survivre sur terre encore quelques milliards d'années. C'est probable, si
l'humanité survi au cataclysme nucléaire, militaire ou civil. Le dada de
l'auteur du site consiste en quelques calculs simples qui démontrent des
théories bien plus complexe. Je me permet juste d'en illustrer une ici:
Si on considère les sources d'énergie renouvelables de la planète seule, à
l'exclusion donc du pétrole, du gaz, du charbon, ce qui entend l'énergie
solaire, l'énergie hydraulique (barrages) qui découle de l'énergie solaire,
l'énergie éolienne (qui découle de l'énergie solaire), et l'énergie
marée-motrice (qui découle de l'énergie cinétique de la Lune), et qu'on
considère que le nucléaire est à banir, la seule énergie qui nous parvienne est
en pratique l'énergie solaire. Elle représente en gros 1,2 KW par m², prise hors
de l'athmosphère sur une surface perpendiculaire aux rayons solaires. Si on
considère la quantité d'énergie nécessaire à la vie humaine (en kilocalories si
vous voulez), en affectant la totalité de l'énergie reçue à la surface de la
terre, océans et pôles compris à la seule énergie vitale de l'être humain, on
peut vivre (couchés, sans bouger et sous terre) à 100 milliards sur terre. Si on
veut profiter de la vie et affecter des surfaces à la vie en plein-air, tout en
"cultivant" les océans, on peut vivre à 40 milliards. Si on veut vivre suivant
le standard de vie européen actuel (avions, voitures personnelles très peu
économiques, chauffage de locaux inocupés, éclairage des routes et villes la
nuit, ...) on peut vivre à 1 milliard. Si on suit le modèle nord-américain, on
peut survivre à à peine 250 millions d'êtres humains sur terre.
Bien sûr, on peut y ajouter le "joker" nucléaire, et considérer que le problème
énergétique est résolu, mais ce n'est pas le cas aujourd'hui en pratique, et je
pense que si on installe des centrales nucléaires partout dans le monde (il y a
une trentaine de tranches nucléaires en France, je pense, pour 60 millions hab,
donc ça doit représenter 3 000 tranches pour 6 milliards hab), on va aboutir à
au moins un accident nucléaire majeur par décénie car on a déjà connu "Three
Miles Island", quelques problèmes au Japon et Tchernobyl, alors qu'est-ce que ce
sera avec des centrales dans des pays encore moins stables politiquement et
moins aptes économiquement à mettre les moyens de sécuriser leurs installations
! Avec un sinistre type Tchernobyl (et encore, elle a pas sauté, celle-là, juste
fondu !) qui condamne d'immenses terrictoires à échéance de plusieurs siècles,
le monde risque rapidement de ressembler à un gruyère avec des zones plus ou
moins habitables en fonction de la date de la dernière exposition nucléaire...
Tant qu'à aller dans la science-fiction, on peut aussi imaginer mettre les
centrales sur la Lune, mais point de vue sécurité d'approvisionnement, je vois
là aussi un problème... On peut aussi imaginer de paver l'Univers proche de la
Terre avec des panneaux solaires, mais on est vraiment là dans le délire
futuriste...
Un point intéressant dans ce site est le mélange fait systématiquement entre
progrès et consommation d'énergie. De même, il apparente ceux qui soutiennent
une politique d'utilisation de l'énergie mesurée à des "stagnationistes", des
gens qui vont contre le progrès. Je pense pour ma part que les ampoules
économiques qui fonctionnent 8x plus longtemps et consomment 5x moins d'énergie
pour une lumière de qualité équivalente sont un progrès notable. Je pense que un
véhicule hybride gaz-électricité dont le moteur se coupe à l'arrêt et qui
récupère l'énergie cinétique dans ses batteries en cas de freinage ou de
descente et qui consomme 3l/100 KM est un progrès. Je considère que la
télé-conférence utilisée dans le milieu professionnel au lieu des meetings avec
déplacements par avion est un progrès. Je pense que le télé-travail est un
progès et non le contraire. Je pense que la finalité ultime est une vie agréable
tout en laissant notre environnement en bon état pour les générations futures et
que l'utilisation de plus en plus intense de conditionnements d'air pour
compenser les changements climatiques induits par l'abus de ces mêmes
conditionnements d'air (entre autres) ne s'inscrit pas dans le cadre d'un
développement durable.
Maintenant, si une énergie propre et sûre apparaissait (je pense à la fusion
nucléaire), et pouvait être exploitée sans risque politique (réacteur enterré
dans une zone politiquement stable à plus de 1 KM de profondeur), et qu'on
puisse utiliser cette énergie pour subvenir aux besoins de tous (via le média
électrique ou hydrogène) et qu'en plus on trouve un moyen, à l'aide de cette
énergie, de capturer le surplus de CO2 dans notre athmosphère pour l'enfuir
comme suggéré dans ce site web, le problème de l'économie ou non du pétrole
serait beaucoup moins pertinente, en effet, mais nous n'en sommes pas encore
là...
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Brent Frère
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helps all of us to understand more accurately the issue.
license-violation(a)fsf.org wrote:
> In general, these sorts of licenses apply only to the bits which are not
> under the GPL. In a typical Red Hat distro, this is mainly the Red Hat
> Network client (but please check carefully).
To my understanding, this contract covers all the RedHat product and services.
They seems to mix the two notions. At least, it is not explained what software
exactly is covered by the proposed agreement. For me, product means RedHat Linux
Enterprise (ES, AS or WS) and service means RedHatNetwork, but this is only my
perception of the issue. There is no explanation from their side. When I visit
their web site, I don't see any way to purchase a product without purchasing the
RHN service. And the contract they propose covers both, so I conclude it also
covers the product alone, even if I don't figure out up to now how to have the
product alone...
> Red Hat may price support at a per-pc price, and may generally make
> agreements which support this practice. Such agreements may say that
> Red Hat won't sell you support for 50 PCs if you in fact have 500 PCs
> running RH software.
I fully agree that they have freedom to sell services as well as softwares, even
free softwares, and that they have the freedom to price support on per CPU
basis, as example, and that they have the right to refuse me support for 50 CPUs
if I'm actually running 500 CPUs using the service, but as soon as the only way
to purchase the software is by purchasing the service, and the service bans your
right to install the software on supplementary CPUs (even if not using the
service from those supplementary CPUs), then the conditions of the GPL doesn't
seems met anymore to me... I have strong restrictions on my freedom to use the
software, which is by the way freedom N°0 from the definition of free
software...
"Free software is a matter of the users' freedom to _run_, copy, distribute,
study, change and improve the software. More precisely, it refers to four kinds
of freedom, for the users of the software:
* The freedom to _run_ the program, for any purpose (freedom 0).
[...]
The freedom to use a program means the freedom for any kind of person or
organization to use it on any kind of computer system, for any kind of overall
job, and without being required to communicate subsequently with the developer
or any other specific entity."
More precisely, in the GPL that covers most of the GNU/Linux system, it is
explicitely told that: "You may not impose any further restrictions on the
recipients' exercise of the rights granted herein.". I feel the obligation to
purchase a chargeable service for any supplementary CPU running the software
against this statement.
> You still have your full rights under the GPL -- but Red Hat may simply
> choose not to sell you support. This is probably what the RH rep meant
> when they said that you "weren't allowed" to copy the software.
They don't say I'm not allowed to copy the software, they explicitely say in
this agreement that in this case I MUST PURCHASE a supplementary subscription to
RHN, and that they even have the right to check once a year in my premises the
amount of RedHat products that are running... They also confirmed me that if I
elected to stop a subscription, I lost the right to run the software... Isn't
there something wrong ?
I think they should correct their wording, saying that any new installed station
SHOULD lead to the purchase of a supplementary subscription, or IS NOT ALLOWED
to be patched nor upgraded by use of the RHN provided services or patches.
The RedHat behaviour leads to declarations of high-tech leaders that says that
due to the support conditions imposed by "OpenSource" companies such as RedHat,
RedHat Linux is actually becoming proprietary software. I was shocked when I
heard this, and that's why I wished to check the exact licence conditions. I
slowly begins to conclude that indeed, through its mandatory and very
restrictive agreement conditions, the RedHat distribution does not meet anymore
the criterias imposed by the GPL, nor the very basic principles of Free
Software.
What are your conclusions about this ?
Thank you for your time.
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